Le top 10 (dans le désordre) des gros relous qu’on croise tous au quotidien (et comment devenir comme eux si vous voulez perdre tous vos amis)

Je pense qu’on en connait tous, des comme ça, non ?

#1. Celui qui critique toujours tout, tout le temps

Ok, vous n’avez pas aimé ce film. Mais peut être que parmi vos potes, certains l’ont finalement bien aimé, et qu’ils n’ont pas envie de vous entendre le démonter pendant 2 heures, à coup de sarcasmes et d’affirmations à l’emporte-pièce ?

Peut être même que parmi vos potes, certains ne l’ont pas vu, et discuteraient bien d’autre chose ?

Toujours pareil : si vous monopolisez trop la parole au sein du groupe, le risque est grand que vous commenciez à souler les autres.

Donc relax et gardez ce proverbe de Yoda en tête : « C’est pas parce que vous avez un avis qu’il faut forcément le donner à tout le monde, pendant des heures »

(pourquoi croyez vous qu’il ait décidé d’aller vivre tout seul sur Dagoba ?)

#2. Le partypooper (aka : celui sur qui on peut compter pour plomber l’ambiance)

On en connait tous un qui a le chic pour toujours plomber l’ambiance, pour aller à contrecourant du mood du grope, soit parce qu’il sait pas s’amuser, soit parce qu’il n’est jamais d’accord, soit parce qu’il ne saisit jamais le second degré, soit parce qu’il éprouve toujours le besoin d’avoir le dernier mot ou de s’appesantir sur des trucs qui au final n’ont pas grande importance – ou juste, dont personne n’a envie de parler là maintenant tout de suite.

Le genre « Mouais, bof », ou encore, le genre qui lance de gros débats sur la crise Grecque en pleine partie de beer pong, parce que quelqu’un a eu le malheur de dire « Myconos ».

Meeec….

Un remède à ce mal : la greffe de légèreté, de second degré et de lâcher prise : savoir s’en foutre, discuter de tout et de rien, laisser les autres dire des conneries en sachant qu’ils ont tort et ne pas en faire un drame (et ne pas se sentir obligé de jouer au professeur).

(sinon : un coup de pelle derrière la tête, et un trou discret dans la forêt)

#3. Celui qui sait tout sur tout (et qui va pas se priver de te donner son avis)

(en général, c’est le même que celui qui critique tout, tout le temps : ce mec aurait du bosser à Télérama en fait)

Les gens qui connaissent tout, qui ont tout fait, et qui savent tout mieux que tout le monde (et surtout : que vous), et qui du coup, se font un devoir de vous parler A VOUS de ce que VOUS vouliez leur parler (j’appelle ça du vol de sujet de conversation, et c’est pas bien !).

Exemple (vécu) : le mec qui t’explique que t’es pas DU TOUT au bon endroit pour visiter tel truc dans un pays où tu te trouves ACTUELLEMENT, alors que lui n’y a jamais foutu les pieds (parce qu’il a dû lire un vague truc sur les internets).

Pénible (ou juste ridicule ?)

Des fois, écouter l’autre vous parler d’un truc que vous savez déjà sans rien dire, juste parce que ça lui fait plaisir, c’est bien aussi (du moment qu’il n’y passe pas des heures et des heures).

#4. Celui qui se plaint pour attirer l’attention et la sympathie des gens

=> celui qui, à défaut de savoir avoir des relations normales avec les gens, opte pour la stratégie de l’appitoiement, aussi appelée technique Calogér Caliméro, qui consiste à étaler toutes ses misères et sa fragilité en espérant que cela donne envie aux autres de lui faire un calin en lui caressant les cheveux.

Problème : ça marche pas (mais alors : pas du tout).

Se plaindre (et râler, et critiquer les autres) est l’une des activités préférées des franç des humains quand ils sont plusieurs – à condition que tout le monde le fasse en même temps, et que ça reste « agréable » pour tous : c’est finalement un moyen comme un autre pour les membres du groupe de se rassurer sur le fait qu’ils ont une vision commune. Très primal, mais profondément ancré en nous.

Lorsque quelqu’un commence à trop se plaindre, à trop monopoliser l’attention au sein du groupe, que ce n’est plus un échange, mais une tentative de braquer les regards et les oreilles sur soi (surtout quand c’est récurrent), cela devient très vite désagréable (et lassant) pour les autres.

Personne n’aime les geignards, et si vous êtes l’une de ces personnes qui essaient d’attirer l’attention et l’affection des gens en étalant leurs supposés malheurs, ne vous attendez pas à rester populaire trop longtemps.

#5. Celui qui monopolise la parole

Certains (et certaines !), une fois lancés, ne savent plus s’arrêter. Ils sont tellement contents de parler de leur vie, de leur œuvre, de ce sujet qui leur tient à cœur qu’ils oublient complètement que communiquer, c’est aussi échanger, et que c’est pas mal non plus de laisser la possibilité aux autres d’en placer une.

Leur vie est un one man show, mais pas de bol pour vous, vous êtes assis au premier rang, et les sorties de secours sont bloquées.

Donner son avis sur des trucs qui nous tiennent à cœur, pourquoi pas – mais il faut savoir conserver un certain équilibre dans le temps de parole.

Si vous passez plus de 50% du temps à parler (et pire : à parler de vous), c’est le moment de commencer à vous intéresser aux autres.

#6. Celui qui adore son incroyable vie

Avoir confiance en soi, avoir des passions, des choses dont vous êtes fier dans votre vie, c’est bien – mais c’est pas parce que vous pourriez parler des heures de ce que vous aimez qu’il faut forcément le faire.

Si vos amis ont l’impression qu’à chaque fois qu’ils passent une soirée avec vous, vient fatalement le moment où vous allez commencer à parler de TEL TRUC (et que ça va durer 1h minimum) … leur agacement va s’accumuler un peu plus chaque fois, jusqu’à ce qu’ils réalisent que finalement, c’est bien aussi quand vous n’êtes pas là.

#7. Celui qui heurte la sensibilité des autres

Souvent, un hipster un peu porté sur le cynisme et le sarcasme, et qui sans le savoir, se moque de trucs qui … ben heu … vous concernent (merde). #malaise

Quand on parle avec les gens, on donne forcément son avis sur un truc ou un autre : et si on le fait de manière trop brutale, ou sans se demander comment l’autre peut encaisser, on risque de heurter sa sensibilité, de le vexer ou de le renfrogner.

Si vous leur donnez l’impression que vous méprisez leurs choix de vie, les gens auront vite tendance à vous percevoir (à raison) comme quelqu’un de désagréable et de pas très intelligent. Et dans tous les cas : ils se fermeront et n’accorderont plus beaucoup d’importance à ce que vous pouvez bien dire.

Leur attitude envers vous sera fermée, parce que VOUS les aurez refermés comme des huitres. Game over.

Tact et prudence, des compétences clés si vous voulez devenir un fin conversationnaliste qui se fait de nouveaux amis et de nouveaux alliés partout où il passe.

Alors comment éviter ça ? Quand vous donnez votre avis, essayez d’être le plus nuancé et le moins tranché possible.

Gardez en tête que discuter n’est pas un match de tennis, on n’est pas là pour marquer des points, mais pour voir si on a suffisamment de points communs pour pouvoir apprendre à s’apprécier – et ce, même si on n’est pas d’accord sur tout.

#8. Celui qui vous coupe la parole tout le temps

Certaines personnes ont cette habitude particulièrement irritante : ne JAMAIS attendre que l’autre ait été au bout de sa phrase, pour enchaîner sur ce que EUX voient d’intéressant à dire (souvent : un truc qui les intéresse ou qui les concerne EUX).

Ces personnes croient qu’elles savent où vous allez, et prennent donc un raccourci. Sauf que bien souvent, elles se trompent (car certains prennent du temps pour énoncer leurs idées).

Et si vous coupez la parole à quelqu’un trop souvent, et qui plus est, pour rebondir sur un truc qui n’a rien à voir parce que vos n’avez pas voulu l’écouter jusqu’au bout, je vous garantis que vous allez TRES VITE souler l’autre, qui vous prendra très vite pour quelqu’un de pas très intelligent (on parle ici d’intelligence sociale, évidemment).

#9. Celui qui en fait trop (ou pas assez)

Un truc qui, personnellement, m’horripile (même si j’ai bien dû le faire une fois ou deux moi aussi) : les gens qui sont TROP.

Ceux qui parlent trop fort, alors qu’ils sont à 50cm de votre oreille droite, ceux qui gesticulent trop, qui ont trop la pêche, qui rient trop fort, qui poussent des cris.

Quand tout le monde est dans le même mood, aucun problème ; mais quand le décalage entre l’attitude de cette personne avec celle des autres est flagrante, le risque est grand de rapidement souler tout le monde.

On n’a pas tous le même tempérament, mais il faut toujours ajuster votre attitude et votre niveau de pêche à celle du groupe.

Valable aussi pour l’inverse : si vous avez la vivacité d’une méduse échouée et que vos potes ont le modjo, ils vont vite en avoir marre d’avoir l’impression de vous traîner.

#10. Celui qui reste bloqué

Certains (et certaines) souffrent du syndrome du disque rayé : quoi que les autres ajoutent à la conversation, quelle que soit la façon dont la conversation évolue, ils vont revenir sur leur idée, quitte à répéter la même phrase encore et encore ET ENCORE.

Genre « Ah. Moi j’aime pas les chanteurs français ».

2 min plus tard (après que d’autres aient apporté leurs remarques et points de vue)

« Ouais. Moi en tout cas j’aime pas du tout les chanteurs français. »

Et parfois, plusieurs fois de suite comme ça. Ça paraît dingue quand on l’écrit, pas vrai ? Mais écoutez attentivement ce qui se passe autour de vous : un MAX de gens sont comme ça.

En fait, le problème, c’est que ça montre une chose : vous ne rebondissez pas sur ce que l’autre apporte à la conversation, et ça, c’est un problème, parce que ça envoie un message : « J’ai absolument pas écouté ce que tu as dit, ou alors, j’en ai rien à foutre et je préfère rester sur mon idée ».

Donner l’impression aux autres qu’ils ne sont pas écoutés ou entendus, pas la meilleure manière de marquer des points auprès d’eux.

Donc : ne soyez pas cette personne. Lâchez vos idées : le but d’un échange de qualité, c’est pas de déballer tout ce qui se trouve dans votre cerveau, mais d’avancer avec les autres au gré de la conversation.

(et peu importe si vous n’avez pas pu réciter TOUTE votre leçon).

Go with the flow !

Et donc ?

Et donc ? Et bien s’il y a quelques points à retenir de cet article, ça pourrait être :

Ne monopolisez pas la paroleFaites plutôt parler les autres (et tant qu’à faire, intéressez vous à ce qu’ils ont à dire, pour de vrai)

… et surtout, surtout, la règle de base : faites attention à ne pas les heurter, c’est la pire offense qu’on puisse faire en conversation. Si vous heurtez quelqu’un (si vous vous moquez sans le vouloir d’un truc qu’il aime, si vous lui donnez sans le vouloir l’impression que vous jugez négativement les gens qui font des trucs que lui fait aussi, …), vous perdez des points.

L’enfer, c’est les autres ceux qui savent pas la fermer.

A vous les studios !

Source Article from http://feedproxy.google.com/~r/FTS/~3/oB18ZDGLaHk/comment-etre-relou.html
Source : FTS : on ne nait pas homme, on le devient

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